
François Rabelais à l’Essaïon : le portrait d’un homme qui luttait pour la liberté de dire et de penser, et qui n’a pas souvent dormi tranquille, l’illustration du fait que le rire est un remède, une liberté à préserver, le propre de l’homme.
François Rabelais à l’Essaïon : le portrait d’un homme qui luttait pour la liberté de dire et de penser, et qui n’a pas souvent dormi tranquille, l’illustration du fait que le rire est un remède, une liberté à préserver, le propre de l’homme.
Valentine – Essaïon Théâtre : Philippe Catoire, mimétique, fait revivre Valentine Tessier le temps d’un entretien filmé en 1973. Avec douceur, elle raconte sa vie de théâtre, ses rencontres…
Des mots, des maux, Démos, Démosthène à l’Essaïon Théâtre : un mashup oratoire qui garde une vraie cohérence, une pièce agréable dont le spectateur sortira en ayant ri, appris… et noté quelques conseils qui lui seront bigrement utiles lors de son prochain discours.
Cœur Ouvert à l’Essaïon Théâtre : une soirée orageuse de la vie de l’homme qui a réalisé la première greffe du coeur, une étude de caractères ciselée, magistralement interprétée, à mettre absolument à votre programme
Très belle Fin de Partie mise en scène par Jean-Claude Sachot, avec un Philippe Catoire hypnotisant.
Un beau texte bien joué sur la façon dont une mère culpabilise son fils issu d’une relation extraconjugale, dont j’ai trouvé la fin anticipée et frustrante.
Mona Lisa se confie, avec humour et érudition elle raconte sa double vie, femme et tableau, elle transmet sa philosophie quantique. Un spectacle hypnotique !
1830, une année charnière pour l’histoire de France, une année charnière pour trois monstres de la littérature. Sand, Hugo, Balzac se croisent, ils croisent l’histoire.
A l’aube de sa vie, Jean Valjean raconte sa vie. Christophe Delessart lui donne magistralement la parole dans un seul en scène habité, en français et en anglais.
Dieu est mort, un spectacle foutraque et attachant qui se savoure comme on parcourt un vieil album photos.