
Quand je serai grande à l’Essaïon Théâtre : Catherine Hauseux, drôle, sincère et vraie. Elle porte la parole de quatre femmes, quatre générations, quatre points de vie. Un spectacle touchant, tendre, à voir de 11 à 99 ans.
Quand je serai grande à l’Essaïon Théâtre : Catherine Hauseux, drôle, sincère et vraie. Elle porte la parole de quatre femmes, quatre générations, quatre points de vie. Un spectacle touchant, tendre, à voir de 11 à 99 ans.
Ne ratez pas Le Dernier Ogre au Théâtre Dunois les 19-20-21/05/22, c’est un spectacle exceptionnel. En allant chercher les peurs de l’enfant qui est encore au fond de nous, Marien Tillet prend sa place dans la cour des très grands
Chambre 2 à La Reine Blanche : une claque théâtrale, un niveau de jeu impressionnant, au service d’une histoire de femmes qui découvrent les facettes de la maternité. Mon premier coup de cœur de l’année 2021.
Les gros patinent bien, au Théâtre du Rond Point : Le cabaret de carton de Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan est hilarant, épatant, déjanté, jouissif, jubilatoire. Un moment magique à voir à tout âge, d’urgence.
J’ai saigné aux Plateaux Sauvages : Jean-Yves Ruf, accompagné pour la mise en scène par Jean-Christophe Cochard, une vision humble du texte plein d’humanité de Blaise Cendrars, une représentation dont le spectateur ne sort pas indemne.
Machine de Cirque à La Scala Paris : ils sont de retour à Paris, pour un spectacle poétique, onirique, bluffant, à découvrir, à redécouvrir, à voir, à revoir, bref à ne pas rater, en famille, en couple, entre amis
Des Putains Meurtrières aux Plateaux Sauvages : un seul en scène coup de poing, un road movie hallucinant devient un thriller haletant. Par Julie Recoing, habitée par l’animalité de cette Femme qui choisit un homme, le sacrifie pour lui faire payer le comportement de tous les hommes.
Cœur Ouvert à l’Essaïon Théâtre : une soirée orageuse de la vie de l’homme qui a réalisé la première greffe du coeur, une étude de caractères ciselée, magistralement interprétée, à mettre absolument à votre programme
En mode Souci à La Contrescarpe : Philippe Fertray, clown poète, ludion, trublion revient avec ses mots inventés mettre notre époque face à ses travers et à ses contradictions. Un spectacle où le rire est intelligent, à savourer d’urgence.
2 films sinon rien ! En écho aux soirées TV dominicales, Jean Baptiste Gillet nous emmène sur les traces de La Vache et Le Prisonnier et de Dupont Lajoie, une soirée contrastée à savourer, où il nous parlera avec la même conviction d’un film fédérateur et d’un chef d’œuvre clivant qui a ouvert la conscience politique de toute une génération.
Avec Perte, Ruthy Scetbon installe un personnage sensible qui vient partager son point de vue sur son petit monde intimiste, un personnage touchant à découvrir sans modération à La Scala Paris. Mise en scène : Mitch Riley.
Roses roses. Et rose ! au théâtre de Nesle est un spectacle rare, à voir par tous ceux qui, de 7 à 77 ans, ont conservé leur capacité d’émerveillement. C’est votre cas ? Allez ouvrir le cahier épais de Souvenirs avec Akihiro Nishida.
Une belle pièce, ramenée à l’essentiel, à voir par tous ceux qui aiment le théâtre qui fuse. Et une analyse de la façon dont les radicalismes prennent le pouvoir qui fait froid dans le dos.
Quand Zazie déboule dans un univers à la Beckett, tout devient possible, et l’amour aussi. Un beau moment de théâtre, à découvrir au Théâtre de Belleville
Noire reprend au théâtre du Rond Point, l’occasion de vivre l’histoire de Claudette Colvin, une jeune fille courageuse qui n’aura pas été Rosa Parks mais qui lui aura sacrément ouvert la voie. Une voix à entendre.
Un grand coup de chapeau à Pierre Notte, Muriel Gaudin, L’histoire d’une femme au Rond Point raconte la vie quotidienne d’une femme qui se dégage du paternalisme et de la misogynie dans laquelle on veut l’enfermer. Surprenant, juste, glaçant.
Eric de Dadelsen, Cløv, donne Le Tourneseul aux Déchargeurs. Un partage d’émotions, une suite de chroniques parlant du monde et des hommes. Il crée des mots, les partage, des mots qui ouvrent leur sens et la réflexion du spectateur. A savourer.
Machine de Cirque m’a laissé le cul par terre. Le spectacle est drôle, les artistes sont excellents, les numéros impressionnants, le décor est beau. Mais surtout, surtout, ils sont humains.
Et les Franglaises, cette année, c’est comment ? Une excellente cuvée, entrainante, givrée, déjantée, péchue.