
Répliques à La Reine Blanche : une pièce sur la précarité et la cruauté du métier d’acteur, l’occasion de voir Benoît Di Marco, très touchant, ne pas avoir d’illusions ne l’empêche ni d’y croire ni de se battre.
Répliques à La Reine Blanche : une pièce sur la précarité et la cruauté du métier d’acteur, l’occasion de voir Benoît Di Marco, très touchant, ne pas avoir d’illusions ne l’empêche ni d’y croire ni de se battre.
Apnée aux Déchargeurs : Sophie Torresi porte le témoignage poignant de son expérience de mère d’un enfant malade face à l’institution médicale. Sous la forme d’un monologue à cinq voix, c’est une histoire d’amour autant qu’une invitation à la réflexion sur la relation patient médecinS. A voir.
Cerebrum à La Reine Blanche : l’art et la science font bon ménage, Yvain Juillard rend compréhensible le fonctionnement du cerveau à travers quelques expériences étonnantes. Un spectacle d’intérêt général.
Un juge à la Reine Blanche : Fabio Alessandrini nous renvoie à la différence entre loi et justice, en posant un regard critique sur le fonctionnement de cette dernière. Une belle performance d’acteur pour un vrai moment de théâtre
Chambre 2 à La Reine Blanche : une claque théâtrale, un niveau de jeu impressionnant, au service d’une histoire de femmes qui découvrent les facettes de la maternité. Mon premier coup de cœur de l’année 2021.
Liza et moi, histoires de mères et de filles à La Reine Blanche : un regard acéré et tendre sur la relation mère-fille, un spectacle de troupe qui fonctionne, à voir avec le sourire
60 minutes dans la vie d’une forêt à La Reine Blanche : un spectacle velouté, tout en douceur et poésie, Nadine Berland s’appuie sur les sons de Dayan Korolic pour recréer sous nos yeux la vie d’un bout de forêt pendant un an.
Giordano Bruno, le Souper des Cendres à La Reine Blanche : pour les curieux de l’histoire des sciences, de l’histoire des idées, des semi-oubliés de l’histoire, pour ceux qui aiment réfléchir. Pour les curieux.
Une pièce atypique, déroutante, dense, un voyage cérébral qui passionnera ceux qui se laisseront embarquer.
La magie lente, une pièce coup de poing, l’histoire d’un homme dans la force de l’âge qui va petit à petit retrouver son passé, le secret enterré dans son passé.
Deux scientifiques, l’une veuve, l’autre marié, vivent une histoire d’amour au début du vingtième siècle, pris entre la maladresse du savant et la morale de l’époque.
Un spectacle à savourer, qui raconte de façon passionnante la vie de Galilée, pour ce dont on se souvient… et pour ce qu’il a laissé qui s’applique encore aujourd’hui.
Un spectacle anthropomorphique dans lequel on apprend des tas de choses sur l’évolution, la cosmologie, la formation de l’univers, la matière, à voir avec un esprit critique.
Deux scientifiques, l’une veuve, l’autre marié, vivent une histoire d’amour au début du vingtième siècle, pris entre la maladresse du savant et la morale de l’époque.
Six personnages se croisent, ils attendent la fin de l’histoire, elle se termine en queue de poisson.
La magie lente, une pièce coup de poing, l’histoire d’un homme dans la force de l’âge qui va petit à petit retrouver son passé, le secret enterré dans son passé.
Un spectacle à savourer, qui raconte de façon passionnante la vie de Galilée, pour ce dont on se souvient… et pour ce qu’il a laissé qui s’applique encore aujourd’hui.
Nous connaissons tous Galilée, du moins sa citation la plus fameuse, « Et pourtant elle tourne » dont la légende veut qu’il l’a marmonnée juste après son abjuration. Qu’a-t-il vraiment abjuré ? Qu’a-t-il vécu ? C’est tout le propos de Galilée le mécano de faire revivre Galilée devant nous, de nous faire découvrir la vie tumultueuse de cet homme aussi peu connu qu’il est célèbre, de nous faire prendre conscience que ce pour quoi il est connu n’est pas la chose fondamentale qu’il a laissée à des générations de scientifiques.
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