
Variété au Rond Point : un spectacle joyeux et élégant, Sarah Le Picard, Florent Hubert, Anne-Lise Heimburger nous font revivre quinze ans de divertissement vus par le prisme de la télévision des années 60
Variété au Rond Point : un spectacle joyeux et élégant, Sarah Le Picard, Florent Hubert, Anne-Lise Heimburger nous font revivre quinze ans de divertissement vus par le prisme de la télévision des années 60
Embrasse-moi sur ta tombe au Rond Point : une pièce nécessaire, à voir pour son analyse de la radicalisation, pour la puissance de l’amour maternel, pour assister au combat démentiel entre Christine Murillo et Benjamin Wangermée.
Les gros patinent bien, au Théâtre du Rond Point : Le cabaret de carton de Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan est hilarant, épatant, déjanté, jouissif, jubilatoire. Un moment magique à voir à tout âge, d’urgence.
Patrick Timsit au Rond Point pour Adieu… peut-être. Merci… c’est sûr : un spectacle qui met la barre très haut, qui promet beaucoup, dont je suis sorti déçu.
Que du bonheur (avec vos capteurs) au Rond Point : un zeste de mentalisme, un doigt de prestidigitation, assaisonnés à la technologie, pour explorer l’espace où la science est encore nouvelle pour paraître magique. Un petit moment de bonheur.
L’Assignation au Rond Point : noire est descriptif, Noire assigne et enferme. Si le message de fond est incontestable, le côté « pas fini » du spectacle en fait un happening pour wokistes convaincus, qui seront les seuls à s’y sentir à l’aise.
Madame Fraize au Rond Point : ne lisez pas ma chronique, réservez une place au Rond Point ou sur la tournée, et allez rire, rire aux larmes, rire à gorge déployée, rire aux éclats, c’est un spectacle à ne pas rater.
J’habite ici au Rond Point : la nouvelle création de Jean-Michel Ribes, à savourer en amateur fidèle, bien que ce ne soit pas son meilleur cru.
En octobre, Tania de Montaigne est au Rond Point. Elle crée L’Assignation, reprend Noire, chante avec ses amis, débat avec Delphine Horvilleur et Stéphane Foenkinos.
Lire la suiteJean-Baptiste Thierrée et Victoria Chaplin sont de retour au Rond Point, pour une nouvelle série de représentations du Cirque Invisible, un spectacle merveilleux et poétique, onirique, un moment de beauté pure dont on a toujours besoin, et cette année encore plus.
Soignez votre âme, offrez lui les animaux imaginaires de l’une, la magie bienveillante de l’autre. Un spectacle à ne pas manquer.
Un spectacle dont il est raisonnable d’abuser.
Un Poyo Rojo – Teatro Fisico au Théâtre du Rond Point : deux danseurs argentins envahis par les hormones et la grâce se dressent sur leurs ergots, improvisent un combat de coqs dansé dont la sensualité n’est pas absente.
Au Théâtre du Rond Point, dans un grand feu d’artifice d’aphorismes et de saynètes, Denis Lavant et Samuel Mercer déroulent la vie de Roland Dubillard, adaptée de ses Carnets en marge et mise en scène par Maria Machado et Charlotte Escamez. A savourer jusqu’au 23 juin 2021.
Avec Je te pardonne (Harvey Weinstein), Pierre Notte aborde #MeeToo et l’évolution du regard de la société sur la femme. Une pièce énorme, une comédie musicale qui traite de façon jouissive et érudite d’un sujet grave, un grand coup de cœur à voir absolument.
Noire reprend au théâtre du Rond Point, l’occasion de vivre l’histoire de Claudette Colvin, une jeune fille courageuse qui n’aura pas été Rosa Parks mais qui lui aura sacrément ouvert la voie. Une voix à entendre.
Charles, télé-assistant chez Tourisme Europe Service, attend Winston Churchill, son obsession, qui vient dîner. Pendant ce temps là, il travaille, et on le découvre dans son humanité.
Le Cirque Invisible est de retour à Paris, c’est l’occasion d’emmener votre âme dans un monde onirique où se mêlent les animaux imaginaires de Victoria Chaplin et la magie bienveillante sortie des valises de Jean-Baptiste Thierrée
Les derniers jours d’un homme, de ceux qui l’entourent. Une pièce dure, clivante, qui fera réagir ceux qui sauront affronter leurs émotions.
Quatre vieilles anglaises indignes prennent le thé dans un jardin, et c’est jubilatoire que de tendre une oreille pour les entendre balancer et créer un univers post apocalyptique.
Dépendances explore le lien de fraternité, un lien qui unit malgré les années, que certains arrivent à briser, d’autre pas.
Un spectacle inclassable, qui dérange, qui bouscule. Marie Payen porte avec humilité les mots des déclassés et des exilés qu’elle a entendus sur les trottoirs et dans les camps de fortune.