
Dessine-moi un piano au Studio Hébertot : un superbe bijou à voir absolument, Jean-Paul Farré joue avec les mots et son piano, son plaisir se transmet au public, enthousiaste de retrouver son âme de bambin émerveillé
Dessine-moi un piano au Studio Hébertot : un superbe bijou à voir absolument, Jean-Paul Farré joue avec les mots et son piano, son plaisir se transmet au public, enthousiaste de retrouver son âme de bambin émerveillé
K ou le paradoxe de l’arpenteur à L’Échangeur – Théâtre Bagnolet : belle création de Régis Hebette, une adaptation du Chateau de Kafka où le spectateur va sentir dans ses tripes disparaître l’espoir de l’Arpenteur, comme la bille d’un flipper disparait quand le joueur se lasse
Deux Mains, la Liberté au Studio Hébertot : Antoine Nouel fait revivre Felix Kersten, le médecin d’Himmler, qui a obtenu la libération de plus de 100.000 personnes en contrepartie de ses massages. Un grand bravo à ce travail de mémoire, à la performance des acteurs. A voir. Absolument.
Un grand coup de chapeau à Marien Tillet et au Cri de l’Armoire pour 2 Soeurs, où Marc, jeune ethnologue, remonte les traces d’un carnet gris trouvé par hasard, explore ce qui a bien pu se passer en 1953, quand une mine irlandaise a été envahie par les eaux.
Embrasse-moi sur ta tombe au Rond Point : une pièce nécessaire, à voir pour son analyse de la radicalisation, pour la puissance de l’amour maternel, pour assister au combat démentiel entre Christine Murillo et Benjamin Wangermée.
Par le Boudu au 104 : Merci, Monsieur Bonaventure Gacon pour ce spectacle rare, cet hymne à la vie par un clown clochardisant. Il n’est pas à l’affiche, il peut se voir par hasard ce samedi 22/01/22 au 104, sachez y courir.
Les gros patinent bien, au Théâtre du Rond Point : Le cabaret de carton de Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan est hilarant, épatant, déjanté, jouissif, jubilatoire. Un moment magique à voir à tout âge, d’urgence.
J’ai toujours voulu faire bien aux Déchargeurs : une pièce nécessaire, à voir. Un cri tripal, viscéral, qui emporte le spectateur, lui fait ressentir les émotions d’une Femme victime des violences de son conjoint. Regardez la.
K ou le paradoxe de l’arpenteur à L’Échangeur – Théâtre Bagnolet : belle création de Régis Hebette, une adaptation du Chateau de Kafka où le spectateur va sentir dans ses tripes disparaître l’espoir de l’Arpenteur, comme la bille d’un flipper disparait quand le joueur se lasse
Madame Fraize au Rond Point : ne lisez pas ma chronique, réservez une place au Rond Point ou sur la tournée, et allez rire, rire aux larmes, rire à gorge déployée, rire aux éclats, c’est un spectacle à ne pas rater.
Si vous êtes à Avignon 2021, osez Une Bête Ordinaire. Une putain de pièce jouée par une putain d’actrice, dont je suis sorti le cœur en miettes, les yeux humides, la gorge trop serrée pour crier Bravo.
Avec Je te pardonne (Harvey Weinstein), Pierre Notte aborde #MeeToo et l’évolution du regard de la société sur la femme. Une pièce énorme, une comédie musicale qui traite de façon jouissive et érudite d’un sujet grave, un grand coup de cœur à voir absolument.
Un grand coup de chapeau à Marien Tillet et au Cri de l’Armoire pour 2 Soeurs, où Marc, jeune ethnologue, remonte les traces d’un carnet gris trouvé par hasard, explore ce qui a bien pu se passer en 1953, quand une mine irlandaise a été envahie par les eaux.
Quatre vieilles anglaises indignes prennent le thé dans un jardin, et c’est jubilatoire que de tendre une oreille pour les entendre balancer et créer un univers post apocalyptique.
Une Bête Ordinaire. Une putain de pièce jouée par une putain d’actrice, dont je suis sorti le cœur en miettes, les yeux humides, la gorge trop serrée pour crier Bravo.