
Le voyage d’Alice en Suisse aux Déchargeurs : une réflexion sur le droit à mourir, une plongée déjantée dans les ressorts de l’âme qui s’affranchit des barrières des genres. Un beau prix du jury de l’édition 2021 du festival Court mais pas vite
Le voyage d’Alice en Suisse aux Déchargeurs : une réflexion sur le droit à mourir, une plongée déjantée dans les ressorts de l’âme qui s’affranchit des barrières des genres. Un beau prix du jury de l’édition 2021 du festival Court mais pas vite
La peau d’Élisa aux Déchargeurs : Elina Gaumondie, assistée de Julie Macqueron et Jean-Baptiste Bazin, donne une convaincante vision viscérale du texte de Carole Fréchette.
Lovecraft, lectures immersives aux Déchargeurs : Lisa Bretzner nous invite à plonger dans l’univers de Lovecraft, enrobée de la musique de Youenn Lerb. Leur passion conjointe emmène le spectateur dans la découverte d’un univers inexploré, terrifiant et addictif.
MARION 13 ANS, pour toujours, aux Déchargeurs : une pièce essentielle, nécessaire, qui place le spectateur face à la terreur absolue qu’est le suicide d’un enfant, qui rend plus vigilant face au harcèlement et aux réseaux sociaux, le tout avec une bouleversante tendresse.
Pôvre Vieille Démocrasseuse aux Déchargeurs : Marie Thomas vient redonner vie aux mots de Marc Favreau, à son rire de conscience, et c’est bien.
Arrête, je vois la parole qui circule dans tes yeux – Les Déchargeurs : un spectacle atypique, sympathique et pressé, où le spectateur prend conscience que le langage, notre première richesse, est en danger
Rogatons – Drame sanglant – Les Déchargeurs : un étrange objet qui explore le théâtre de l’excès, avec de belles fulgurances dans le texte… et une interprétation possible glaçante.
Maîtres Anciens aux Déchargeurs : François Clavier donne corps à Reger, musicologue vitupérant qui dézingue tous azimut. Du grand talent, pour le spectateur qui sait ne pas bouder son plaisir
Grande Ourse aux Déchargeurs : un spectacle sympathique, Luc Rodier interprète une galerie de personnages pour raconter la vie de Zélie, jeune batteuse. Un joli moment de poésie, un touchant message d’amour d’un père à sa fille.
Petite se prolonge aux Déchargeurs, maintenant à 19h15 : deux sœurs, un homme, des cartons. Ariane Louis nous emmène dans un univers à la Beckett, dans une mise en scène hallucinée de Thibaut Besnard, servie par une distribution de talent. Un vrai choc, un bijou rare, à ne pas manquer présenté par Les Insurgés, une compagnie à suivre sur la durée.
Maîtres Anciens aux Déchargeurs : François Clavier donne corps à Reger, musicologue vitupérant qui dézingue tous azimut. Du grand talent, pour le spectateur qui sait ne pas bouder son plaisir
Underground aux Déchargeurs : un cri, une leçon de vie, un appel à soutenir avec bienveillance ceux qui sortent des rails qu’on avait tracés pour eux. Texte et mise en scène : Julie R’Bibo, jeu : Clémentine Bernard.
La Folle Allure aux Déchargeurs : sur le texte de Christian Bobin, la douceur décidée de Fleure de Vanssay raconte la vie folle d’une femme libre de vivre, libre d’être, libre d’aimer
Démons aux Déchargeurs : Lars Norèn livre deux brebis affaiblies à un couple de loups pervers et manipulateurs qui se nourrissent de la souffrance, la leur autant que cette des autres, il observe le résultat avec un regard d’entomologiste, il laisse le spectateur fixer ses propres limites. Un texte très bien servi par une distribution solide et homogène.
Pédagogies de l’Échec aux Déchargeurs : Pierre Notte livre une loupe féroce sur la façon dont fonctionnent les organisations, jusqu’au point où leur logique les emmène à l’auto destruction.
La Paix dans le monde aux Déchargeurs : Le spectateur voit sur scène la belle histoire qui existe dans la tête du personnage, à charge pour lui d’imaginer la réalité, qui est terrifiante. Un seul en scène bluffant.
Si vous êtes à Avignon 2021, osez Une Bête Ordinaire. Une putain de pièce jouée par une putain d’actrice, dont je suis sorti le cœur en miettes, les yeux humides, la gorge trop serrée pour crier Bravo.
Une Bête Ordinaire. Une putain de pièce jouée par une putain d’actrice, dont je suis sorti le cœur en miettes, les yeux humides, la gorge trop serrée pour crier Bravo.
Eric de Dadelsen, Cløv, donne Le Tourneseul aux Déchargeurs. Un partage d’émotions, une suite de chroniques parlant du monde et des hommes. Il crée des mots, les partage, des mots qui ouvrent leur sens et la réflexion du spectateur. A savourer.
Cløv, le clown d’Eric de Dadelsen, arrive à Paris. Il a repris les habits de Sol, le clown de Marc Favreau, lui a ajouté une touche d’actualité, ses valeurs de partage. Pour une vision poétique et cruelle du monde dans lequel nous vivons. C’est le spectacle à voir début novembre. Si vous partagez un tant soit peu ma sensibilité : allez-y.