Merteuil au Lucernaire : la suite des Liaisons Dangereuses, Merteuil face à Cécile, quinze ans après. Un duel cinglant écrit par Marjorie Frantz, agilement mis en scène par Salomé Villiers. Une pièce à voir et à revoir.
Du bonheur de donner au Lucernaire : un cadeau bienveillant d’Ariane Ascaride, des mots de Bertold Brecht, soulignés par l’accordéon de David Venitucci, des mots heureux, des mots sur le monde, des mots partagés à emporter avec soi comme un encouragement quand le monde est tête dessus dessous.
Coup de cœur pour Dom Juan au Lucernaire : Tigran Mekhitarian emporte Dom Juan dans un univers urbain où la langue de Molière rencontre le rap, le flow, la langue qu’on entend dans la rue. Un beau moment de grand théâtre, à savourer d’urgence.
Les Voyageurs du Crime au Lucernaire : une disparition dans l’Orient Express, mais Conan Doyle est là. Une enquête rondement menée, une pièce agréablement interprétée, une bonne idée pour une sortie de fin d’année entre amis.
Soie au Lucernaire : Sylvie Dorliat adapte le livre d’Alessandro Baricco, elle en pose avec sensibilité l’univers poétique, elle fait exploser une bombe de sensualité retenue.
La Vie Est Belle poursuit au Lucernaire, allez voir ou revoir, c’est une belle histoire, une chronique sociale, aussi. Une pièce indispensable à voir pour resserrer les liens, pour comprendre ce qui se passe le samedi après midi, pour le plaisir de voir du beau théâtre. En famille, entre amis. Une pièce où emmener quelqu’un qui compte pour vous, qui pourrait / pour qui vous pourriez attraper la lune avec son lasso.
Enorme. Brontis Jodorowsky est énorme et magistral dans Le Gorille. A voir. Absolument.
Roméo et Juliette adapté par Manon Montel, une version épurée et sensuelle, à ne pas manquer au Lucernaire.
Un Musset rythmé, très visuel, une leçon de séduction dans les codes actuels pour une leçon de vie éternelle, ce que femme veut…
Un homme qui vit de son don, une femme qui l’accompagne, un impresario, trois destins entremêlés, trois êtres humains qui racontent leur(s) histoire(s), quatre monologues sobres et pleins d’humanité. Une pièce atypique à voir au Lucernaire.
Je n'ai qu'une vie - Des émotions à partager 