Au delà de l’image d’Epinal, Jeanne d’Arc est une femme qui s’est battue jusqu’au bout pour ses idées. C’est cette femme que Séverine Cojannot, habitée par son personnage, nous fait découvrir au théâtre de la Contrescarpe.

Au delà de l’image d’Epinal, Jeanne d’Arc est une femme qui s’est battue jusqu’au bout pour ses idées. C’est cette femme que Séverine Cojannot, habitée par son personnage, nous fait découvrir au théâtre de la Contrescarpe.
Un objet théâtral intéressant, entre rêve et surréalisme, la rencontre qu’ils auraient pu l’imaginer.
Deux acteurs magnifiques, un beau texte, une belle mise en scène. Sans beauté, comment supporter le réel ? Un coup de coeur à voir, un bonbon à savourer au Théâtre de la Contrescarpe.
Philippe Fertray pose son regard affuté et tendre sur le monde du (non)travail, il en dresse un portrait corrosif, les mots fusent pour un vrai moment de plaisir et d’espoir.
Un moment de poésie bienveillante, un espace d’amour et de sérénité, une pièce qui vous redonne le moral, à voir absolument.
Un ludion coloré qui joue sur et avec les mots ? Une satire de notre époque par Philippe Fertray, attachant et politiquement incorrect ? Essayez Pas d’souci !
Un seul en scène de bonne facture, qui raconte une vie de bureau pas si ordinaire que ça, avec quelques bonnes idées. Parfait pour ponctuer une soirée entre amis.
La Voix Humaine, à La Contrescarpe, est une proposition étonnante qui, à travers la simple voix de Yannick Rocher, vous emporte au tréfonds de votre âme.
Là, on est dans le théâtre pour enfants. Je n’en parlerai que pour dire du bien de pièces qui traitent les enfants autrement que comme des bébés à qui on ne peut montrer que du guignol.
Un beau décor, un jeu convaincu. Mais surtout un message, passé aux enfants, une prise de conscience. Ah oui, quand on est entrés, la salle était … beurk, comme l’a raconté Alix à sa maitresse. Bon, le message n’a pas passé la porte de sa chambre, qui reste beurk.