
Répliques à La Reine Blanche : une pièce sur la précarité et la cruauté du métier d’acteur, l’occasion de voir Benoît Di Marco, très touchant, ne pas avoir d’illusions ne l’empêche ni d’y croire ni de se battre.
Répliques à La Reine Blanche : une pièce sur la précarité et la cruauté du métier d’acteur, l’occasion de voir Benoît Di Marco, très touchant, ne pas avoir d’illusions ne l’empêche ni d’y croire ni de se battre.
Giordano Bruno, le Souper des Cendres à La Reine Blanche : pour les curieux de l’histoire des sciences, de l’histoire des idées, des semi-oubliés de l’histoire, pour ceux qui aiment réfléchir. Pour les curieux.
Les Furtifs par la Cie Roland Furieux à l’Echangeur Bagnolet : une adaptation sonore et visuelle du livre d’Alain Damasio, un texte militant à réfléchir, une expérience sensorielle à vivre. Un sacré boulot, qui m’a chopé, surpris, séduit.
Un spectacle stupéfiant, acide, atypique, qui dit le conflit éternel entre l’ambition carnassière et les valeurs utopiques.