
En attendant Godot à La Scala Paris : quand Alain Françon sublime Samuel Beckett, c’est essentiel, c’est magique, c’est à ne pas rater. Allez-y.
En attendant Godot à La Scala Paris : quand Alain Françon sublime Samuel Beckett, c’est essentiel, c’est magique, c’est à ne pas rater. Allez-y.
Fin de Partie à l’Atelier : Jacques Osinski propose une belle vision d’une des meilleures pièces du théâtre de l’absurde. Denis Lavant et Frédéric Leidgens, tous deux excellents, savent souligner l’humour sous-jacent à ce texte post apocalyptique. A ne pas rater.
Un jeu sobre, de la musique dans la voix, Véronique Boulanger m’a convaincu dans cette version de Oh les beaux jours.
Très belle Fin de Partie mise en scène par Jean-Claude Sachot, avec un Philippe Catoire hypnotisant.
Au Théâtre de Nesle, Pascal Humbert réussit l’ascension difficile de Premier Amour, une nouvelle de Beckett écrite au moment de sa vie où il décide de se tourner vers la littérature, publiée après qu’il a reçu le prix Nobel. A voir par ceux qui savent se laisser emporter quand la musique d’un beau texte est restituée avec talent.