
Une Maison de Poupée à la Manufacture des Abbesses : pour le texte d’Henrik Ibsen qui mêle dilemme moraux et féminisme moderne, pour le jeu de Philippe Person, pour se souvenir que certaines évidences ont seulement passé 50 ans.
Une Maison de Poupée à la Manufacture des Abbesses : pour le texte d’Henrik Ibsen qui mêle dilemme moraux et féminisme moderne, pour le jeu de Philippe Person, pour se souvenir que certaines évidences ont seulement passé 50 ans.
Après le chaos – Manufacture des Abbesses : Véronique Augereau sert magistralement le texte d’Élisabeth Gentet-Rabasco, qui raconte une mère dont le fils a commis l’indicible. Une pièce dont on sort en disant « oh putain », en vérifiant bien que tout est resté normal, que c’était bien du théâtre.
Enfance à la Manufacture des Abbesses : Anne Plumet et Marie-Madeleine Burguet, toutes de nuances et de sensibilité, suivent Nathalie Sarraute sur les traces des émotions de son enfance écartelée, un beau moment de théâtre pour ceux qui savent laisser filer leur imagination
Une version troublante, viscérale, des Bonnes de Jean Genet, qui mélange le jeu, la danse, la musique et le chant.