
Le Manteau de Gogol au Théâtre de l’Opprimé : Serge Poncelet donne une belle vision de ce texte qui décrit si bien les petites gens, pour un très joli rendu, plein de poésie. Un spectacle dont on savoure le rendu, et dont on sort en réfléchissant.
Le Manteau de Gogol au Théâtre de l’Opprimé : Serge Poncelet donne une belle vision de ce texte qui décrit si bien les petites gens, pour un très joli rendu, plein de poésie. Un spectacle dont on savoure le rendu, et dont on sort en réfléchissant.
Au Théâtre 13, Ronan Rivière présente une adaptation du Nez de Gogol, dans laquelle le Nez est une allégorie du sexe. Un point de vue intéressant et amusant, qui manque parfois de rythme. Et la première pièce que j’aurai vu jouée par des acteurs masqués, ce qui ajoute un niveau de lecture bienvenu à la pièce.
Sylvain Zarli est Propitchine, le héros du Journal d’un Fou de Nicolas Gogol, mis en scène par Stéphanie Slimani sur la scène du Tremplin Théâtre.