Pour sa réouverture, le Théâtre de Belleville a donné Hedda. Une émotion particulière pour une pièce que j’ai revue avec un autre oeil. Une pièce qui me laisse face à une vraie interrogation, quel est cet atavisme dont Hedda est la victime ?

Pour sa réouverture, le Théâtre de Belleville a donné Hedda. Une émotion particulière pour une pièce que j’ai revue avec un autre oeil. Une pièce qui me laisse face à une vraie interrogation, quel est cet atavisme dont Hedda est la victime ?
Le Théâtre de Belleville rouvre ses portes le 24 juin avec Hedda. Une pièce qui vaut le coup, à voir, à revoir, jusqu’au 5 juillet. Et à partir du 8 juillet, tout l’été, Une vie de Gérard en Occident. Retournez au spectacle, le spectacle a besoin de vous. Comme vous avez besoin de lui.
Lundi soir, Colette Nucci présentait la saison 2020-2021 du Théâtre 13. Une saison un peu particulière pour elle, elle prend sa retraite à la fin de l’année.
Je saisis l’occasion pour lui dire merci.
Lire la suiteLa mort est inéluctable ? Pourquoi ne pas aller rire avec elle, en jouant avec les mots d’Anne de Peufeilhoux à la Comédie Nation.
Un jeu sobre, de la musique dans la voix, Véronique Boulanger m’a convaincu dans cette version de Oh les beaux jours.
Julie Duclos met en scène la pièce de Maeterlinck dont est tirée l’opéra de Debussy. Une histoire éternelle d’amour, de jalousie, et d’inéluctabilité des contraintes sociales.
Charles, télé-assistant chez Tourisme Europe Service, attend Winston Churchill, son obsession, qui vient dîner. Pendant ce temps là, il travaille, et on le découvre dans son humanité.
Les Survivantes, cinq femmes qui vendent leurs corps au bord d’une autoroute, cinq femmes qui vont se battre, cinq femmes qu’il faut soutenir.
Le Cirque Invisible est de retour à Paris, c’est l’occasion d’emmener votre âme dans un monde onirique où se mêlent les animaux imaginaires de Victoria Chaplin et la magie bienveillante sortie des valises de Jean-Baptiste Thierrée
Les derniers jours d’un homme, de ceux qui l’entourent. Une pièce dure, clivante, qui fera réagir ceux qui sauront affronter leurs émotions.
Une pièce atypique, déroutante, dense, un voyage cérébral qui passionnera ceux qui se laisseront embarquer.
Et si, avec une bande d’amis, on prenait un livre de psychologie homme/femme, et qu’on le lisait à haute voix en retrouvant les travers des uns et les défauts des autres ? C’est un peu ça, Aime-moi, un petit bonbon qui donne le sourire.
Quelque part, une dictature est en train de tomber. Quatre femmes sont réunies, qui vivent ces derniers instants. Un texte poupée russe où chacune se dévoile petit à petit, un beau travail de troupe qui prend l’attention du spectateur et ne la lâche pas.
Très belle adaptation du roman de Daniel Keyes, Grégory Gadebois est superbe dans le rôle de Charlie, cet homme simple qu’une opération va rendre temporairement intelligent.
La Vie Est Belle poursuit au Lucernaire, allez voir ou revoir, c’est une belle histoire, une chronique sociale, aussi. Une pièce indispensable à voir pour resserrer les liens, pour comprendre ce qui se passe le samedi après midi, pour le plaisir de voir du beau théâtre. En famille, entre amis. Une pièce où emmener quelqu’un qui compte pour vous, qui pourrait / pour qui vous pourriez attraper la lune avec son lasso.
Hedda, une pièce multiple. Il y l’histoire d’un couple dans lequel la violence s’installe. Il y a une réflexion sur la nature du souvenir, sur le doute. Sur l’équilibre qui s’installe et qu’un détail va perturber.
Ils reviennent se bouffer le nez, ces couples, avec les mots pleins de l’humour moqueur de Jean-Michel Ribes, promesse tenue d’une bonne soirée.
Quatre vieilles anglaises indignes prennent le thé dans un jardin, et c’est jubilatoire que de tendre une oreille pour les entendre balancer et créer un univers post apocalyptique.
Dépendances explore le lien de fraternité, un lien qui unit malgré les années, que certains arrivent à briser, d’autre pas.