Avec une esthétique à la Antonioni, le collectif LOUVES présente Infini Blanc, qui explore la façon dont les principes, les blessures et la culpabilisation se transmettent de génération en génération, de mère en fille.

Avec une esthétique à la Antonioni, le collectif LOUVES présente Infini Blanc, qui explore la façon dont les principes, les blessures et la culpabilisation se transmettent de génération en génération, de mère en fille.
Une lecture à travers le triangle Bourreau-Victime-Sauveur de la pièce de Bertold Brecht qui ne m’a pas vraiment convaincue.