
Beaucoup de Bruit pour Rien au Théâtre 71 : une version modernisée qui tire vers la farce, un parti pris solide qui démonte les mensonges et le sexisme de la société, laissant le spectateur tirer lui même ses conclusions.

Beaucoup de Bruit pour Rien au Théâtre 71 : une version modernisée qui tire vers la farce, un parti pris solide qui démonte les mensonges et le sexisme de la société, laissant le spectateur tirer lui même ses conclusions.
Quelque part, une dictature est en train de tomber. Quatre femmes sont réunies, qui vivent ces derniers instants. Un texte poupée russe où chacune se dévoile petit à petit, un beau travail de troupe qui prend l’attention du spectateur et ne la lâche pas.

A voir au Théâtre 71 de Malakoff, en tournée ensuite, une belle version d’Yves Beaunesne du Prince Travesti, au delà de l’amour et de l’argent, Marivaux s’intéresse à savoir qui de l’homme ou de la femme a le sens du devoir d’état.