Smoking jouait au Marcounet le 31 octobre, à l’occasion de la sortie de Train Bleu, le premier album du groupe. Un beau moment de jazz et d’amitié. La bonne nouvelle ? Ils reviennent le 23 novembre !
L’univers de Smoking, c’est l’univers d’une vie. J’ai de la chance, j’ai écouté, dansé, sur la voix de Sharon, sur la contrebasse de Gérard Prévost, sur le piano de Frédéric Thibault. J’écoute, quelques années plus tard, Train Bleu, je découvre la guitare magique d’Olivier Cahours, je suis ému par la batterie de Julie Saury.
Train Bleu, c’est Berlin Ouest, un titre entrainant sur une époque pas si révolue, sur une époque où la vie se savourait. C’est le Musée des Amours Clandestines, qui fait écho à l’Amour hors des Rails, la vie encore, toujours présente. C’est l’air de Que du Vent, qui sèche aussi le linge des femmes. C’est Une petite Pointe de Panache, rien que le mot. Je pourrais continuer.
12 titres un peu Jazz, mais pas que, presque pop intemporelle. 12 titres qui se concluent sur Train Bleu, qui donne son titre à l’album, qui ouvre sur un nouveau voyage.
Sur scène, l’humour et la joie de vivre du groupe débordent, ils sont contagieux.
Sortie de l’album oblige, Bertina Henrichs, Philippe Milanta, qui ont apporté des pierres essentielles à l’écriture des titres, sont dans la salle.
Hier soir, j’ai passé un moment avec Smoking. Des amis. C’est magique un tel moment avec des amis.