Plutôt à destination des professeurs de collège qui en feront le départ d’une discussion, cette pièce traite du racisme (de la xénophobie, plutôt), de ses sources (pré-juger, généraliser), de l’acceptation de l’autre et de ses différences… et de l’inéluctabilité de la chose, l’essence de l’autre est d’être étranger avant de devenir notre prochain.
Ça m’a rappelé le temps où, à Marseille, j’ai entendu un immigré (de longue date) arménien et un fils d’immigrés italiens tenir la position qu' »il faut foutre les bougnoules à la mer », en l’occurence les comoriens.
Je reste dubitatif sur la capacité de la pièce à trouver un public hors des collèges et autres associations luttant contre le racisme.