
Juillet 1961 au Théâtre Ouvert : si j’ai savouré le texte viscéral de Françoise Dô quand je l’ai relu, si je l’ai trouvé bien servi, je suis passé à côté de sa mise en scène qui me le rendait distant et froid.
Juillet 1961 au Théâtre Ouvert : si j’ai savouré le texte viscéral de Françoise Dô quand je l’ai relu, si je l’ai trouvé bien servi, je suis passé à côté de sa mise en scène qui me le rendait distant et froid.