
Faire Semblant d’Être Moi : courez à La Flèche voir Luce Mouchel raconter ses années 70 quand elle allait de 5 à 18 ans, son spectacle magistralement interprété vous emportera dans un torrent d’émotions aussi justes que sincères.

Faire Semblant d’Être Moi : courez à La Flèche voir Luce Mouchel raconter ses années 70 quand elle allait de 5 à 18 ans, son spectacle magistralement interprété vous emportera dans un torrent d’émotions aussi justes que sincères.

Le Conte d’Hiver à La Flèche : une version à quatre comédiens de la pièce de Shakespeare proposée par Fitzgerald Berthon qui s’appuie sur palettes très différentes de Juliette Dutent et Guillaume Geoffroy. C’est encore un peu frais, un peu de lâcher prise et ils vous emporteront.

Feu Mamie à La Flèche : Inès de Broissia trace avec talent et affection le portrait d’une famille un peu surannée. Un spectacle vrai et spontané qui vous donnera le sourire, ici, pas de lourd secret de famille à découvrir, juste des gens qui s’aiment.

La Fileuse de Nuit à La Flèche : Elsa Rozenknop, autrice et comédienne de talent, emporte le spectateur dans la découverte onirique et parfois loufoque de son histoire familiale. Un beau spectacle qui prend la forme d’un conte pour dompter le monstre caché. A savourer.

J’oublie tout à La Flèche : Julien Gallix, mis en scène par Louis Meignan. L’histoire simple, limite banale d’un jeune homme qui cherche sa voie. Un texte barré, percutant, avec de jolies fulgurances. Un jeu puissant, une belle présence sur scène. Vous passerez une bonne soirée, vous aurez découvert un grand comédien potentiel

Saigner des genoux à La Flèche : une classe de collège, la prof mal à l’aise, les ados se découvrent, la cruauté des groupes. Une pièce fine signée Igor Kovalsky qui alterne les séquences jouées et chorégraphiée, servie par une distribution jeune et bluffante. Une pièce politique, qui sait poser un constat sans imposer sa réponse.

Yvonne ou ma génération Y au Théâtre La Flèche : Clothilde Aubert, mise en scène par Stéphane Colle, porte avec finesse ses interrogations où les Millenials se reconnaitront et se retrouveront.

Bowie comme Bowie à La Flèche : Laura Segré-Cénat est très fine dans cette conférence laborieuse et déglinguée qui se révèle un voyage dans la folie bien ficelé dont on sort en ayant envie de le revoir

Celle qui voulait qu’on la regarde disparaitre à La Flèche : une pièce nécessaire qui alerte et qui témoigne, par Claire Besuelle, toute en finesse et sensibilité sur scène, et Pauline Rousseau. Le témoignage de Laurence, emportée par la mode et l’anorexie, qui trouve l’aide qui lui permet d’en sortir

37 Heures à La Flèche : Elsa Adroguer dit comment l’emprise s’installe, comment Camille a été abusée sexuellement, comment elle remonté le fil de sa mémoire. Un spectacle noir, glaçant, bouleversant. Un spectacle dur, fort, nécessaire. Du grand art.

La Forme des Choses à La Flèche : superbe histoire noire de Neil Labute, une artiste border line rencontre un homme insignifiant, le transforme en un séducteur sûr de lui, au prix de ses amitiés passées. Mila Michael et Eliot Vincent sont excellents dans cette pièce à découvrir d’urgence.

Les Jeux à La Flèche : Il fait de la solitude un statut, il pose son regard sur le monde, joue à en prendre le contrôle. Coup de Coeur pour l’excellent seul en scène d’Adrien Madinier. Mélange bien dosé de surréalisme, de fantaisie et de poésie au texte fin et intelligent

Pan et Syrinx à La Flèche : poursuivie par le désir de Pan, la nymphe Syrinx trouve le salut dans sa disparition au milieu des roseaux. Matthias Deau transpose le mythe dans un environnement urbain. Une bonne idée dont le fil mériterait d’être mieux tiré.

Le Prince à la tête de coton à La Flèche : un texte fin et touchant de Nicolas Porcher, l’histoire d’une famille dont le père est atteint d’aphasie primaire progressive. Une histoire d’amour ébranlé, un spectacle d’une grande bienveillance. Une pépite à ne pas manquer.

Brasser de l’air et s’envoler à La Flèche : Xavier Guelfi emporte son idéaliste échevelé dans une frénésie de non-sens. Un premier jet perfectible à suivre sur la durée.

I.R. à La Flèche : un spectacle inclassable et barré. Louise Belmas m’a embarqué dans son univers décadré. Avec naturel, elle pose son regard sur le sens des choses, sens propre, sens figuré. La réalité est un point de vue. Premier coup de cœur 2024.

Furie à La Flèche : une plongée dans les émotions d’UNE pilote de F1, être une femme ajoute à la pression qui pèse sur ses épaules. Une belle exploration par Leonor Oberson de ce que permet l’espace du songe au théâtre.
L’épisode du 17/11/23 est en ligne. Dans cet épisode, deux minutes pour vous conseiller d’aller voir :
– 00:44 Méduses en tournée
– 03:04 La Place au Théâtre La Flèche
Et une minute pour vous parler de :
– 04:27 Le Bateau pour Lipaïa au Studio Hébertot
– 05:28 Le Cabaret d’Eva Luna en tournée
– 07:14 Le Crédit à l’Essaïon Théâtre

Et par elles à la Flèche : un spectacle Feel Good construit comme un livre de développement personnel, avec la même forme de naïveté rafraichissante. On en sort en voyant le monde sous un meilleur angle, en ayant reçu au passage quelques rappels nécessaires.
L’épisode du 10/11/23 est paru. Dans cet épisode, deux minutes pour vous conseiller d’aller voir :
– 00’45 Les Membres Fantômes à La Flèche
– 02’54 Le Petit Chaperon Rouge à La Huchette
Et une minute pour vous parler de :
– 04’53 Vous Avez Dit Romantique, ma Harpe et moi en tournée
– 06’03 Histoires de Baiser(s) au Lavoir Moderne Parisien