Une scène immense et vide, 3 hommes, une femme. Une planche, et puis des balais. La planche est presque verticale, tout est dans le presque, poussée par le balai elle reste en l’air.
Le résultat – forcément – d’un travail forcené : de l’étonnement, de la poésie. Une simplicité qui force l’admiration.
Rien n’est jamais en équilibre, un peu d’attention, un peu d’effort, et tout tient. N’est-ce pas la leçon de la vie ?
C’était très beau un beau moment de poésie et d’émotion tout en équilibre entre les équilibristes une confiance entre eux forte qui nous donne l’impression d’une aisance hors du commun et tout cela a partir d’une simple planche de bois Merci Guillaume
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