En une phrase : l’histoire d’une fille, qui ramène chez elle sa mère, qui perd la mémoire, la tête.
Elle m’a pris aux tripes, cette pièce. Elle est un peu courte (45 minutes), on se retrouve sur le trottoir sans avoir vu le temps passer.
C’est plein de bonté.
Deux jours après, il n’en restait rien d’autre que le souvenir que la mère jouait bien mieux que la fille.
Et, étrangement, plus le temps passe, plus la pièce redevient présente, surtout le rôle de la mère.
C’est un objet étrange, cette pièce.