Rien ne me sépare de la merde qui m’entoure : un opéra dyschronique, sur la forme, sur le fond, un coup de poing

Rien ne me sépare de la merde qui m’entoure au Lavoir Moderne Parisien : un texte viscéral et subversif de Virginie Despentes, la forme d’un opéra dyschronique imaginée par Véronique Ros de la Grange qui s’appuie sur le talent bluffant de Furioza. Sur le fond, sur la forme, un coup de poing tripal

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