Ma cantate à Barbara

Anne Peko interprète Barbara, elle donne vie, d’une façon personnelle qui m’a embarqué, à l’histoire contenue dans chacune de ces chansons.

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La revanche du capitaine Crochet – Théâtre des Variétés

Mauvais choix d’être allé voir ce pseudo Musical aux Variétés. Pourtant j’aimais bien le pitch, le capitaine Crochet revient et se venge, avec des effets spéciaux, de la magie, des cascades, des combats. Par effet spécial, il faut entendre ombre chinoise, j’ai du m’endormir et rater la magie etc…

Le décor est ringard, les acteurs sont mal dirigés, du coup leur jeu est surjoué et caricatural. Au moins leurs voix ne risquent rien, ils ne les poussent pas.

Le pire pour un spectacle destiné aux enfants ? Ca ne tient pas leur attention, ils bougeaient, s’ennuyaient. Je ne parle pas de Fléchette et Baroudeur, mais de toute la salle, à ma droite il y avait une petite fille qui soupirait en regardant son père les yeux implorant, et un brouhaha incessant que ce soit à l’orchestre ou en corbeille.

Quand le capitaine Crochet s’est transformé en crooner pour séduire Wendy j’ai espéré que le comble du ridicule était atteint.  J’ai ensuite regretté que mon espoir soit déçu.

C’est long. Très long. Annoncé pour 85 minutes, ça a duré 100 minutes, 100 minutes qui passaient très lentement.

Le mot d’OliveOyl qui était là ? Catastrophique.

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Merlin – Théâtre des Variétés

Joli pêle-mêle que ce Merlin au théâtre des Variétés, un peu de chant, un peu de magie, un peu de poésie, beaucoup de deuxième degré pour que les parents prennent aussi plaisir à être là.

L’histoire ? Le roi Pendragon meurt en laissant Excalibur enchâssée dans un rocher, Arthur la sortira. Entre temps le roi Ectorius tentera, avec la complicité de Morgane, de faire de son fils Kay le roi d’Angleterre. Oui, OliveOyl a trouvé qu’ils ne respectaient pas l’histoire, c’est pas si grave que ça. Bien sûr la magie de Merlin opérera, et Vivianne reviendra (Viviane ?).

On a vraiment passé un bon moment, la pièce marche, la magie aussi. Oui, il y a deux magie, celle d’un tour d’illusionnistes, et celle de Merlin, à coup de paillettes, de bave de crapaud, de fumées, de bulles de savon.

Je suis totalement rentré dans la poésie des lumières qui volent, comme l’amour, ici, là, un, deux, ok, j’ai un cœur d’enfant et un cœur d’artichaut. Comme j’ai aimé les jeux de mots au second degré pour les parents, ou le personnage de Kay, qui prend tout au pied de la lettre.

Bref un bon moment en famille, Baroudeur a trouvé ça « très bien », Fléchette « super méga bien ».

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