Pour l’ambiance, les bars programment des groupes consensuels, format léger. Là, non. Blastwave, c’est du Hard Rock, du vrai qui envoie. Autour d’une chanteuse qui ne doit avoir de fragile que l’apparence, la voix encore jeune peut manquer des excès d’alcool et de tabac de ma génération, ce n’est plus l’époque.
Autour d’elle, un guitariste sans fil, un bassiste, un batteur. Formation classique, efficace.
Balstwave, du hard rock, du solide. Un set de plus de deux heures, bien maitrisé, les morceaux s’enchainent de façon fluide, compositions, reprises de groupes renommés, de groupes locaux (les Landes ? locales ? les choses ont bien changé).
Une fois la râleuse à la carafe de sangria partie, reste un public conquis.
Le soleil a fini par se coucher, le son par baisser, c’était un bon moment.